De quelle raison parle-t-on ?
Les Coréens se sont rencontrés ? Il y aura peut-être la paix, là-bas ? Sans conquérant et sans vaincu ?
Dans le scenario le plus inquiétant on peut, on doit se poser la question de la « dénucléarisation » de la péninsule. Comme celle de la « dénucléarisation » de l'Iran.
À quoi bon la « dénucléarisation » quand on maîtrise la « nucléarisation ».
Ce n'est pas raisonnable.
Raisonnable ? Mais de quelle raison parle-t-on ? De quelle raison pourrait-on parler lorsqu'il s'agit de la bombe atomique ?
Et, d'une façon générale – tout générale ! –, de quelle raison parle-t-on lorsqu'il s'agit de l’inventeur de la stupidité générale – tout générale ! –, de la guerre, lorsqu'il s'agit de l'humain ?
Il faut reconnaître : ce texte est un peu énervé.
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