Ce que le public aperçoit de l'affaire planétaire de DSK est, nous assure-t-on, beaucoup moins sale que ce qu'il ne voit pas. Les linges sales se lavent en famille, dit-on. Ainsi, j'ai l'impression que le pauv' DSK, s'exhibé/exposé d'une manière très défavorable/sale au public, tourne et retourne – est tourné et retourné dans le sellier politico-familial – comme un hamster dans sa cage-tambour, ou comme dans le tambour d'un lave-linge ; sans pourtant parvenir au nettoyage/blanchissement.
D'un autre côté, Ségolène Royal, apleurée, enlarmée télévisionnement – c'est à dire, pétrie intérieurement par une douleur spéciale, inaccessible au citoyen lambda –, malmenée par les dieux démoniaques politico-familiaux, n'accepte pas sa mise sur la touche politique et se jette dans la bataille à côté du père de ses/leurs quatre enfants, père qu'elle avait mis familialement (et/ou familièrement ?) à la porte et dont elle s'accroche maintenant...
Ajoutons à tout cela le fait que Arnaud Montebourg s'est déclaré « pour » François Hollande – en oubliant qu'il y a cinq ans le même, à l'époque « pour » Ségolène Royal avait dit que le seul problème de Ségolène était François. Ajoutons aussi que Hollande a oublié, lui aussi, les dits de Montebourg...
C'est la vie, non ? Une vie où les linges sales – dit-on – se laveraient en famille.
- Pour que, ensuite – bien lavés ou mal lavés –, soient montrés/imposés au publique.
Ce public, alors !