Nicolas Sarkozy critique « implicitement » l'immobilisme de la France qui tarde d'intervenir en Syrie.
- Lui, Sarko, suivant les conseils « intellos » d'un certain BHL ayant envoyé à une certaine époque des forces militaires en Libye...
Avec un résultat plus que douteux.
- Plus.
Bon, et alors ?
Alors on y médite.
Quelle mouche a piqué Sarko-le-perdant pour qu'il s'en prennne au pouvoir-gagnant qui dirige aujourd'hui la France ? Est-ce le résultat d'une confrontation silencieuse des puissances macro-mondiales circulant/s'écoulant dans les tuyaux d'un hyper-circuit trans et supra-national ? Est-ce la preuve que l'actuel pouvoir français serait un pouvoir « spécial » en permettant l'instauration d'une institution nouvelle, la Présidence B ?
- Ou les deux ?
Et pourquoi pas ?