Lorsque Olympiade il y a (comme aujourd'hui), on est Olympique – ou rien.
- Bon, et alors ?
Alors on y médite.
Le sport, venté et vendu en tant que « mens sana in corpore sano » est moins un signe de belle jeunesse, de fraîcheur et de jeu, qu'un signe d'immaturité. Cela devient encore plus évident lorsqu'on regarde les spectateurs « sportifs ».
J'évoquerais comme contre-argument (contre-poids ?) la beauté de la chose.
- Une forme d'art... populaire.
(« Vox populi, vox dei. »)
Forme. Une. Populaire. Divine.
Disons poétiquement (plus ou moins) que c'est l'immaturité » de ceux blottis gratuitement (inutilement aussi ?) dans la main gratuite (et inutile ?) de Dieu.
- Et si, par la suite, on parlait un peu droits de transmission, pub, produits dérivés, maîtrise socio-politique des foules, dopage et drogues ?
Eh ben, si on en parlait... un peu ?