dans mon texte publié antérieurement il ya quelques erreur dont je m'excuse le plus platement possible. Ci joint, la variante corriée...
J'ai presque honte d'écrire ce qui suit. Mais c'est une bonne honte, rassurante, qui m'intègre à l'espèce.
Il y trois débats qui animent (ou mortifient, selon le cas) la société française d'aujourd'hui. La pénalisation des clients des prostituées, la lutte contre les violences conjugales (faites au femmes, mais de plus en plus aux hommes aussi), et finalement, le statut civil de l'animal.
Je croyais, naïvement certes, que c'était l'éducation qui était appelée à résoudre ces trois problèmes moins sociaux que sociétaux.
- Je me trompais !
L'homme n'est pas éducable, paraît-il. Il est comme toujours le sauvage qui prostitue et se prostitue, et qui fait violence autour de lui. Il faut que l'homme (le même ou un autre, quelle importance ?) promulgue des lois qui obligent l'homme (le même ou un autre, quelle importance ?) de (ne pas) faire ceci et de (ne pas) faire cela.
Étrange ! Miraculeux ! Merveilleux ! Menaçant !
Oui, certainement ! Mais... pourquoi tout cela ?
J'ai toujours honte, comme je disait. Mais c'est une bonne honte. Je me sens intégré à l'espèce.
Encore que, je ne suis pas totalement certain.